« Lors de ma première peine d’amour, mon père m’a interdit de lire Alfred de Musset. Audacieux, indocile et impénitent, j’ai, comme tout insoumis, impétueusement défié l’autorité. Je n’aurais jamais dû… Voyez pourquoi lors de mon nouveau spectacle.
Comme les romantiques m’ayant précédé magnifiaient leurs peurs, leurs peines et leurs tourments avec la poésie, j’ai tenté de les imiter avec l’humour, art voisin au leur, pour cultiver, confesser et chroniquer mon espoir d’être un véritable enfant du siècle. Encore faut-il que ce soit le bon…
En souhaitant que vous succombiez à la fantaisie de partager une soirée avec moi lors de ce spectacle, hélas d’humour, veuillez agréer l’assurance de mon respect.
Humblement,
Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques »